By Einar Faanes – Own work, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=620293
Les organismes de formation que je rencontre ces temps-ci souhaitent inclure une dose de distant dans leurs curricula de formation. L’hybride (mélangeant présence et distance) semble devenir un passage obligé.
Faut-il alors avoir peur du tout distant ?
Un collègue évoquait récemment son impossibilité de monter une formation car les apprenants sont issus d’une île lointaine et ne peuvent se rendre une fois par mois en métropole pour des raisons de coût. Dans ce cas de figure, pourquoi ne pas pousser le bouchon plus loin et se lancer en tout distant ?
Les moyens de communication synchrones (comme la classe virtuelle) fonctionnent aujourd’hui de façon très satisfaisante du fait de l’augmentation significative des débits proposés pour la connexion Internet.
La plateforme de formation asynchrone garde touts sa pertinence pour déposer les contenus, échanger sur des forums, remettre des travaux individuels et collectifs.
Quelques grammes de bon sens, un choix judicieux d’outils pour préparer et déguster, un gros zeste de scénarisation, une pincée d’audace, un accompagnement aux petits oignons, des apprenants gourmands, une équipe en appétit et les choses deviennent possibles !
Jacques Cartier
www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu – www.espace-formation.biz – www.espace-formation.org