Archives de la catégorie ‘Réflexions’

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Intelligence artificielle, intelligence augmentée ?

Nous sommes toutes et tous à l’écoute de ce qui se passe autour de l’intelligence artificielle.

ChatGPT fait partie de nos onglets sur notre navigateur et nous nous exerçons à intervalles réguliers à taper des demandes à cette application.

Nous sommes surpris, bluffés, dubitatifs, étonnés, ahuris, … Les adjectifs sont pléthore.

Bien vite, la question se pose de la bonne utilisation des propositions de ce logiciel dans le cadre de la formation initiale et continue.

Puis-je copier / coller le texte proposé purement et simplement dans les travaux que je rends ? Mais dans ce cas, suis-je dans un contexte de plagiat ?

>>> L’UQAM (Université du Québec à Montréal) met à disposition une plaquette à destination de ses étudiants : https://services-medias.uqam.ca/media/uploads/sites/44/2023/10/18101032/Guide_PersonneEtudiante_UsageResponsableIA.pdf

Ce document peut déjà aider apprenant(e)s, formatrices et formateurs à une première réflexion.

J’en profite pour vous indiquer un ouvrage qui m’aide beaucoup à avancer sur ce sujet :

>>> « L’IA pour la formation » de Lucie Dhorne – Clic Editions.

Lucie Dhorne préfère le terme « intelligence augmentée » à « intelligence artificielle » qui pourrait laisser à penser qu’une intelligence supérieure, cachée dans l’ombre, guide nos pas !

N’oublions pas que l’IA est un domaine de l’informatique.

>>> Définition de l’IA sur le site de la CNIL : https://www.cnil.fr/fr/intelligence-artificielle/intelligence-artificielle-de-quoi-parle-t-on

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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DocteurCosmos, CC BY 3.0 <https://creativecommons.org/licenses/by/3.0&gt;, via Wikimedia Commons

Passer le gué vers le digital

Dans ma pratique quotidienne de consultant spécialisé dans l’utilisation du digital en formations initiale et continue, j’observe que parfois, des organismes de formation voudraient que leur pôle de formateurs passe du tout présentiel à l’hybride (présence / distance) comme ça d’un « simple clic ».

C’est aller vite en besogne et ne pas prendre le temps de la réflexion sur les spécificités de l’introduction du digital dans la pratique des formateurs. Je perçois un changement important à opérer dans la professionnalité des acteurs.

On pourrait établir trois catégories de changements :

1. Les aspects techniques

L’hybridité induit l’utilisation d’outils de communication. Par exemple la classe virtuelle (ou visio) qui prend de plus en plus de place dans les dispositifs du fait de son ubiquité. Mais préparer / animer une classe virtuelle est un exercice de style qui ne tolère pas l’approximation. Créer la classe, préparer les contenus, inviter les participants, animer les échanges, concevoir l’évaluation, …

Et puis, il ya les aléas techniques qui peuvent polluer la qualité de la rencontre. Le formateur doit avoir un peu de « bouteille » pour bien mener les choses.

2. Les aspects pédagogiques

Ce n’est pas l’outil qui fait les contenus et qui remplace le rôle pédagogique du formateur. Celui-ci doit se questionner sur la façon dont la classe virtuelle s’inscrit dans le curriculum de formation. Elle vient après un présentiel, après un travail sur un forum à thème. Elle prépare le futur présentiel, les activités individuelles et/ou collaboratives que les participants vont vivre, …

Le formateur doit ainsi inventer de nouvelles façons de travailler, car il n’a pas les apprenants « sous la main » en salle 245 de 9 h à 17 h. Le formateur devient un « formateur chercheur » qui réinvente des pans entiers de sa pédagogie.

En ce qui me concerne, le digital a transformé mon métier d’enseignant. J’étais certainement dans un contexte de routines (1) bien établies en salle de cours. Sur ma plateforme, il m’a fallu écrire les objectifs de la formation, les consignes de travail à réaliser, imaginer les activités à distance, concevoir les évaluations, assurer le suivi des apprenants, …

3. L’identité numérique

Le formateur digital travaille en ligne, parfois entièrement à distance. Il se construit une identité numérique spécifique. Par exemple, il s’achète un nom de domaine qui qualifie son statut sur le Toile, il fait attention à ne pas mélanger en ligne vie privée et vie professionnelle, il se préoccupe de l’utilisation légale des ressources qu’il met à la disposition de ses apprenants.

Ce dernier point est très sensible, car la plupart des personnes que je rencontre dans mes stages ne se préoccupent pas (du tout) de la légalité des contenus glanés ici et là sur Internet. Ce n’est pas une critique bas de gamme que je fais là. Je crois que les personnes pensent que le Toile est un lieu commun partagé en toute liberté, sorte d’auberge espagnole. Combien de formateurs scannent des pages d’ouvrages, intègrent des images trouvées sur des sites, publient des morceaux choisis sans citer la source, frôlent le plagiat !

J’essaie de les sensibiliser sur ce sujet en leur mettant à disposition un parcours de formation que j’ai écrit sur l’utilisation des licences Creative Commons http://espace-formation.education/parcours/

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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Il est souvent demandé à un enseignant ou un formateur de changer sa pratique. Cela avec plus ou moins d’instance, de respect et d’empathie. Parfois la demande ressemble à une injonction…

Mais est-ce si simple de sortir de sa zone de confort acquise par l’expérience d’années d’exercice de la fonction ?

Bernadette Charlier s’interroge sur le changement de pratique à opérer. Elle le voit comme un processus à la fois personnel et institutionnel :

« Lorsque je parle de changement de pratique d’enseignement ou de formation, j’évoque les changements mis en œuvre par un enseignant ou un formateur au moment de la planification, pendant les cours ou les formations ou après ceux-ci. Il peut concerner, ses routines, ses décisions de planification ou ses connaissances, de même que : les actions mises en œuvre, les interactions avec les pairs et la réflexion exercée sur l’action. L’ensemble de ces éléments constitue ce que j’appelle sa pratique d’enseignement ou de formation. En outre, il n’y a changement que par rapport à une situation antérieure. C’est l’enseignant ou le formateur lui-même qui reconnaît le changement. Si une telle proposition peut s’avérer théoriquement cohérente, elle mérite d’être discutée. En effet, elle suppose, au moins implicitement, la nécessité du changement. Il faut changer. C’est la « tyrannie du changement » même si, dans ce cas, l’enseignant pourrait être considéré comme son propre tyran. Ce qui avec les TIC n’est pas tout à fait le cas tant la pression médiatique, politique et économique est forte.

Ainsi, si changer est nécessaire, résister l’est sans doute tout autant. L’un ne va pas sans l’autre. Pour changer une pratique pédagogique, il faut d’abord que celle-ci existe, qu’elle ait été construite patiemment au cours des années, qu’elle soit stabilisée. L’enseignant doit pouvoir s’appuyer sur cette pratique s’il souhaite la changer. Il doit pouvoir la reconnaître pour éventuellement la mettre en cause. Il doit pouvoir y fonder son projet. Échapper à cette tyrannie consisterait peut-être à comprendre le changement de pratique d’enseignement ou de formation comme un processus inscrit à la fois dans une histoire individuelle et dans un contexte institutionnel. Un processus vécu différemment par chaque enseignant. Un processus à double face articulant résistance et changement. »

Bernadette Charlier – Professeure responsable du Centre de Didactique Universitaire et Nouvelles Technologies et Enseignement – Université de Fribourg (Suisse) – https://www.unifr.ch/didactic/fr/centre/equipe/charlier.html

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Jacques Cartier

Consultant expert international – espace-formation.euwww.jacques-cartier.fr

Le formateur au centre du disposif ?

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« L’apprenant au centre du dispositif » : c’est une expression consacrée pour définir une qualité première d’un dispositif de formation performant.

Et si, pour une fois, pour un court instant, on mettait en avant « Le formateur au centre dispositif » ?

Les organismes de formation, pour lesquels je travaille sous forme de missions, me disent que les appels d’offres qu’ils reçoivent stipulent que les formations à assurer doivent de plus en plus proposer une multi modalité, de la présence / distance et du tout-distance.

Mais quid de la mise en place de ce nouveau paradigme qui inclut une part non négligeable de digital ? La présence d’une plateforme de formation, la création de ressources multimédia, l’utilisation d’outils de communication comme la classe virtuelle, …

Et il ne faut pas se limiter aux aspects techniques, car les aspects pédagogiques sont encore plus complexes à imaginer : quelles activités en ligne, que proposer aux apprenants, comment communiquer, comment accompagner, … ?

Parfois, je trouve que les organismes de formation ne prennent pas suffisamment conscience qu’il est important de former leur pôle de formateurs à ces nouveaux défis. Ils ont tendance à laisser venir, à imaginer que les formateurs vont s’y mettre naturellement, car c’est leur métier après tout ! Attention aussi à ne pas oublier les formateurs occasionnels !

Oui, mais ne s’agit-il pas d’une nouvelle professionnalité qu’il est impératif qu’ils acquièrent et non pas seulement d’une dextérité particulière à utiliser des outils numériques ?

Ils doivent accompagner leurs apprenants lors des phases à distance. Ils deviennent ainsi des tuteurs à part entière. Ce nouveau rôle ne s’improvise pas. Le bon sens n’est pas toujours synonyme de réussite loin de là !

Il est demandé aux formateurs de créer des ressources (textes, images, vidéos, …) à déposer sur une plateforme. Mais avec quels outils de scénarisation ? On ne peut pas se contenter de déposer des fichiers .PDF même si leurs contenus sont très pertinents. Des liens vers des sites, des images, des vidéos sont devenus des médias incontournables sur le web 2.0. Alors, quels outils fournir aux formateurs pour les aider à scénariser ces ressources enrichies ? Un ordinateur portable et une connexion Internet ne suffisent pas !

Et ces ressources, sont-elles libres de droits ? Ce sujet est très sensible. La quasi-totalité des formateurs (et des enseignants) dont j’ai la charge ne se soucie pas suffisamment du droit d’auteur. Comme si la Toile était un espace ouvert à tous vents, les ressources présentes disponibles d’un simple clic, auberge espagnole de contenus multiples et variés !

Si un formateur produit un parcours de formation de qualité pour l’organisme dont il dépend et qu’il s’avère que nombre de documents ne sont pas libres de droit, cela peut devenir fâcheux pour les responsables du dispositif. L’image de marque risque d’être flétrie, l’amende éventuelle très « salée ».

Il est demandé aussi à mes collègues formateurs d’utiliser la classe virtuelle pour travailler en synchrone avec des apprenants disséminés géographiquement. Là encore, il faut un peu de « bouteille » pour animer ce genre de réunions. Comment cette classe s’intègre-t-elle dans le curriculum de formation, quid de sa création, de son animation, de la place des apprenants dans son déroulement ?

Vous le voyez, laisser les formateurs un peu livrés à eux-mêmes n’est pas un service à leur rendre. L’organisme de formation doit prendre en main la gestion d’une nouvelle professionnalisation de ses acteurs qui sont sur le terrain en lien direct avec les apprenants.

Ils ne sont surtout pas la cinquième roue de la charrette ou de petites mains. Ils sont au centre du dispositif !

Jacques Cartier

Consultant expert international – espace-formation.euwww.jacques-cartier.fr

Les ressources utilisées par les apprenants sont parfois un souci majeur. En effet, le droit d’auteur n’est pas respecté et entraîne une non validation du travail réalisé.

C’est souvent par ignorance que cela se produit, comme si la Toile était un lieu ouvert, une sorte d’auberge espagnole de contenus.

J’ai ainsi écrit un parcours de formation que je mets à votre disposition, et qui, je l’espère, devrait aider à clarifier la problématique.

Lien : http://www.espace-formation.education/parcours/

J’ai l’ai rédigé en utilisant le logiciel auteur Exelearning – http://www.exelearning.net

Bien à Vous,

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu

En fait, je suis un formateur saltimbanque !

Image en CC Paternité, Pas d’utilisation commerciale, Partage à l’identique sur https://www.flickr.com/photos/mazanto/33522500813/sizes/l/

Définition du mot sur Wikipédia :

« Un saltimbanque est un artiste du spectacle de rue ( spectacle vivant ). Il fait toutes sortes de tours et joue de l’étonnement pour amuser le public dans les foires. Les troupes d’artistes se produisaient de ville en ville sous l’Ancien Régime. Les prestations étaient diverses, du montreur d’ours aux dramaturges itinérants qui allaient donner à la littérature française ses lettres de noblesse. »

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saltimbanque

J’ai le sentiment de jouer ce rôle dans mon quotidien de formateur. Je fais des tours pour captiver mes apprenants, le pitre pour donner du piment à une situation pédagogique. Le clown, un peu, faut pas trop exagérer…

Je suis nomade et vais de ville en ville, de classe virtuelle en classe virtuelle pour animer mes formations. Je fais un peu de spectacle de rue en faisant participer mon public, pour qu’il s’investisse dans sa propre formation. Je ne forme pas les gens, ce sont eux qui se forment. Facile à dire, pas toujours facile à faire !

Oui, je ne parle pas en alexandrins comme un comédien de la tragédie classique, mais je soigne mon langage en l’adaptant à mon public. Imaginez que je présente les contenus de la formation en alexandrins et que personne ne le remarque. Je pense à Gérard Depardieu dans le film « Cyrano de Bergerac » de Jean-Paul Rappeneau !

Je fais du spectacle vivant, car je joue sur des registres d’expression artistiques comme le théâtre, les arts du cirque, les arts de la rue, les arts de la marionnette, …

Je vous donne un exemple : lorsque j’ai le sentiment que l’attention de mon groupe chute, je chante la chanson « Ainsi font, font, font » en bougeant mes mains au-dessus de ma tête comme si je tenais des marionnettes. Je vous assure que vous ramenez le public à sa tâche !

Certes, cela ne plaît pas à tout le monde. Une personne est restée une fois dans la salle pour s’adresser à moi en privé. Elle m’a dit avoir été choquée par ma prestation du « Ainsi font, font, font ». Je me suis dit alors que la liberté pédagogique du formateur est ténue. Peut-être du fait que des personnes ont une représentation très normée de son rôle : la personne qui sait, qui va m’enseigner.

J’ai envie d’assumer ce rôle d’artiste que le formateur peut endosser. Ne pas se prendre trop au sérieux tout en étant très vigilant pour que les apprentissages se fassent. Un peu « fou du roi », mais pas si fou, car le fou du roi est souvent son conseiller.

Et la danse ? Je vous sens tendus tout d’un coup. Le voilà qui va danser au milieu de la salle de formation. Bon d’accord, peut-être pas jusque-là. Quoique, j’ai le sentiment parfois quand je présente une notion avec un diaporama de faire des pas de deux avec une cavalière imaginaire pour capter l’attention de mon auditoire.

Ça m’est arrivé de me balader dans l’amphithéâtre de mon université avec un micro-cravate. Je faisais des sauts de cabri dans les allées de la salle devant mes étudiants un peu surpris !

C’est vrai que je suis un peu cabotin !

Ça me plaît bien !

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu

Récemment, je suis intervenu à Paris dans le cadre des 15 èmes journées de la e-formation sur la thématique « Tutorat et évaluation des apprentissages ».

Voici le lien vers cette conférence : https://www.canal-u.tv/chaines/enteaixval/conference-de-jacques-cartier-tutorat-et-evaluation-des-apprentissages

Bon visionnement !

Bien à Vous,

Jacques Cartier – mentor, mentor évaluateur, jury, concepteur de parcours chez OpenClassrooms – OpenClassrooms.com

Site personnel : www.jacques-cartier.fr – Blogue : www.espace-formation.org – Plateforme de formation : www.espace-formation.eu

Nom de domaine et micro-entrepreneur

Image en CC0 sur https://www.flickr.com/photos/mathias_poujol_rost/3470952631

Dans un document lu récemment (1), j’ai relevé que 95 pour cent des micro-entrepreneurs n’ont pas de nom de domaine.

C’est un peu étonnant, car le nom de domaine est une identité numérique forte. De plus, le prix à payer chaque année pour en être propriétaire est quasiment dérisoire ! (de l’ordre de quelques euros par mois)

Le nom de domaine peut rediriger vers un site, un blog, une plateforme de formation :

La mise de fond n’est pas très importante au vu de l’impact au quotidien sur mes activités de consultant sous régime de micro-entrepreneur depuis bientôt dix ans.

Bien sûr, il faut se former un minimum pour être à l’aise :

  • C’est quoi un nom de domaine ;
  • Comment le créer ;
  • Choisir un hébergeur pour son site ou son blog qui propose le nom de domaine inclus à l’abonnement ;

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant expert International – Auditeur Qualiopi – Mentor validateur chez Openclassrooms

 Site : jacques-cartier.fr– Plateforme Moodle :espace-formation.eu– Blog : espace-formation.blog

(1) https://www.legalplace.fr/guides/profil-type-ceateur-micro-entreprise-anciennement-auto-entreprise-2019/

Image en CC Paternité Partage à l'identique : https://www.flickr.com/photos/taffeta/16708795248
Image en CC Paternité Partage à l’identique : https://www.flickr.com/photos/taffeta/16708795248

Plateforme de formation et présentiel

En fait, utiliser sa plateforme de formation n’est pas réservé à la formation à distance asynchrone. Elle convient tout à fait aussi à la modalité en présence.

Pour le formateur, tous les contenus de sa formation sont présents sur cet espace. Il peut ainsi aller chercher telle ou telle ressource et la projeter au vidéo projecteur : le déroulé de la journée, les consignes initiales, …

Le diaporama qui introduit la formation est dans un dossier réservé que les apprenants ne voient pas.

Les consignes des activités apprenants sont présentes, les lieux de dépôts des travaux individuels ou de groupes sont en place.

Le formateur se détache ainsi de tout ce qui préparation du cours pour s’intéresser au suivi des apprenants par exemple pendant les activités de groupe.

Pour l’apprenant, l’espace de travail est clairement identifié. Il a accès à toutes les ressources qui lui sont destinées. Il peut lire à son rythme les consignes de travail et voit clairement où et comment déposer les travaux demandés.

Tester, c’est l’adopter !

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant expert International – Auditeur Qualiopi

espace-formation.eu – jacques-cartier.fr

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Une plateforme de formation, mon cahier de brouillon !

A l’heure où la formation hybride devient la modalité la plus utilisée, il est important que la formatrice et le formateur disposent d’une plateforme en ligne pour déposer les contenus de leurs interventions.

Un hébergement s’impose. Les versions gratuites sont intéressantes pour mettre le pied à l’étrier. Mais l’accès est souvent limité dans le temps. Il est donc utile de disposer d’un hébergement pérenne.

Après un temps de recherche en ligne, de contacts avec des collègues expérimentés, j’ai choisi un hébergement auprès d’OVH pour environ 5 euros par mois.

Quelle a été ma démarche pour installer ma plateforme Moodle – https://espace-formation.online/moodle ?

  • Un nom de domaine m’a été proposé (gratuit pendant un an) ;
  • A partir de mon compte OVH, j’ai créé une base de données ;
  • J’ai téléchargé l’installation de Moodle à partir du site : https://docs.moodle.org/4x/fr/Installation_de_Moodle ;
  • J’ai crée un dossier « Moodle » à la racine du serveur ;
  • J’ai copié les fichiers de l’installation dans le dossier « Moodle » en utilisant un logiciel de transfert de fichier Filezilla ;
  • En tapant l’adresse espace-formation.online/moodle, l’installation s’est lancée automatiquement ;
  • J’ai eu à donner le chemin de la base de données créée;
  • Et en avant !

Me voilà avec ma propre plateforme !!!

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant expert International – Auditeur Qualiopi

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