Archives de la catégorie ‘Formation’

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Se former rapidement au digital en formation d’adultes

Vous êtes enseignant(e), formatrice ou formateur, intervenant(e) occasionnel(le).

Vous êtes confronté(e) à l’utilisation du digital lors de vos interventions.

Vous ne savez pas bien par quel bout empoigner le problème.

Vous cherchez à vous former rapidement, vous n’avez pas le temps de vous inclure dans une formation « institutionnelle » programmée dans le temps.

Vous cherchez une relation de un à un (ou en petit groupe) avec votre formateur pour lui faire part de vos besoins précis et qu’il puisse y répondre rapidement de façon ciblée.

Vous préférez travailler tout à distance pour cette formation, car les déplacements vous sont trop chronophages.

Vous souhaitez bien cadrer votre budget pour financer votre formation.

Je peux être la personne que vous cherchez. J’enseigne et je forme depuis 50 ans, je travaille sur la formation en ligne depuis 25 ans.

Vous trouverez mon curriculum vitae à cette adresse : http://jacques-cartier.fr/curriculum-vitae-2.html

Je suis à votre disposition pour évoquer ce sujet et, si vous êtes intéressé(e), monter une formation adaptée à vos besoins.

Je dispose d’une plateforme Moodle pour les travaux asynchrones, une plateforme Zoom pour les moments de travaux synchrones.

Bien à Vous,

  • jacques.cartier@espace-formation.eu
  • Tél : 06.81.38.87.57 – International : 0033 681388757

Jacques Cartier

Consultant expert International – Auditeur Qualiopi – Mentor validateur chez Openclassrooms

espace-formation.eu – jacques-cartier.fr – Plateforme Moodle : espace-formation.online

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Image en CC Paternité Partage à l’identique : https://www.flickr.com/photos/taffeta/16708795248

Plateforme de formation et présentiel

En fait, utiliser sa plateforme de formation n’est pas réservé à la formation à distance asynchrone. Elle convient tout à fait aussi à la modalité en présence.

Pour le formateur, tous les contenus de sa formation sont présents sur cet espace. Il peut ainsi aller chercher telle ou telle ressource et la projeter au vidéo projecteur : le déroulé de la journée, les consignes initiales, …

Le diaporama qui introduit la formation est dans un dossier réservé que les apprenants ne voient pas.

Les consignes des activités apprenants sont présentes, les lieux de dépôts des travaux individuels ou de groupes sont en place.

Le formateur se détache ainsi de tout ce qui préparation du cours pour s’intéresser au suivi des apprenants par exemple pendant les activités de groupe.

Pour l’apprenant, l’espace de travail est clairement identifié. Il a accès à toutes les ressources qui lui sont destinées. Il peut lire à son rythme les consignes de travail et voit clairement où et comment déposer les travaux demandés.

Tester, c’est l’adopter !

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant expert International – Auditeur Qualiopi

espace-formation.eu – jacques-cartier.fr

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Ligne pédagogique

De nombreux organismes de formation affichent clairement leur ligne pédagogique.

Une école suisse basée à Yverdon dans le canton de Vaud indique sur son site – https://www.arpih.ch/ :

« En tant que catalyseur d’apprentissage, il est amené (1) à assumer tour à tour ou en même temps différents rôles. Ainsi, il doit être organisateur, facilitateur, vulgarisateur, « passeur » (établir des ponts entre l’univers de la pratique professionnelle et celui du savoir expert), vecteur d’autonomie, médiateur, animateur, modérateur et évaluateur. »

(1) le formateur

Pour télécharger le document dans son entier : https://www.arpih.ch/wp-content/uploads/2015/03/GDF-ORG-01-LIGNE-PEDAGOGIQUE.pdf

Les rôles indiqués ne sont peut-être pas du goût de certains formateurs plus habitués à jouer un rôle de transmetteur de savoirs. Peut-être que certains voient une sorte de perte de prestige à jouer au « passeur », au « facilitateur ».

Mais, en andragogie, la demande qui est faite à un intervenant porte sur la diversification de ses méthodes pédagogiques et pas seulement sur la projection d’un diaporama commenté.

Sur ce point, les organismes de formation ont à former les personnels qu’ils emploient. Trop souvent, les formateurs occasionnels sont recrutés sur leurs compétences professionnelles et mis devant un public sans aucune formation initiale ou continue. Ils font comme ils peuvent avec leur vision de l’enseignement. Difficile pour eux d’imaginer un autre paradigme sans les apports d’une formation solide.

Bien à Vous,

Jacques Cartier

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Être formateur ou formatrice, ça s’apprend ?

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Les personnes que j’accompagne comme mentor sont souvent des intervenantes occasionnelles dans le monde de la formation. Leur entourage professionnel leur confie des missions de formation, car elles ont des compétences avérées dans l’exercice de leur métier, elles font preuve d’empathie.

Mais on a tendance à les parachuter dans une salle de formation devant un public sans aucune formation pédagogique. Elles font un peu comme ça vient.

Plus ces pédagogues en herbe avancent dans la formation que je mentore et plus ils prennent conscience que l’activité de formateur est un métier. Des éléments théoriques sont importants à intégrer dans la pratique quotidienne. Par exemple, rédiger des objectifs pédagogiques, créer des activités motivantes, imaginer des évaluations en lien avec les objectifs et les activités. (l’alignement pédagogique)

Ce matin encore, un formateur en cuisine m’a indiqué qu’il revisite complétement sa pratique grâce aux apports de la formation qu’il suit. Il intègre même depuis quelques temps de la pédagogie inversée !

Bien à Vous,

Jacques Cartier

espace-formation.eujacques-cartier.fr

Source : https://www.pexels.com/fr-fr/photo/personne-qui-tape-sur-une-machine-a-ecrire-1462226/

Taper sa thèse, son mémoire, un rapport d’activité en automatisant le document (table des matières, tables des index et des illustrations automatiques, utilisation des styles)

Cette formation vous permet de passer d’une utilisation « bricolage » à une utilisation experte. De nombreuses vidéos réalisées par mes soins vous aident à réaliser les exercices.

Temps d’accompagnement conseillé : entre 5 et 10 heures.

Pour plus d’informations, ouvrez le fichier ci-dessous.

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Informations détaillées

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Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant Expert International

En fait, je suis un formateur saltimbanque !

Définition du mot sur Wikipédia :

« Un saltimbanque est un artiste du spectacle de rue ( spectacle vivant ). Il fait toutes sortes de tours et joue de l’étonnement pour amuser le public dans les foires. Les troupes d’artistes se produisaient de ville en ville sous l’Ancien Régime. Les prestations étaient diverses, du montreur d’ours aux dramaturges itinérants qui allaient donner à la littérature française ses lettres de noblesse. »

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saltimbanque

J’ai le sentiment de jouer ce rôle dans mon quotidien de formateur. Je fais des tours pour captiver mes apprenants, le pitre pour donner du piment à une situation pédagogique. Le clown, un peu, faut pas trop exagérer…

Je suis nomade et vais de ville en ville, de classe virtuelle en classe virtuelle pour animer mes formations. Je fais un peu de spectacle de rue en faisant participer mon public, pour qu’il s’investisse dans sa propre formation. Je ne forme pas les gens, ce sont eux qui se forment. Facile à dire, pas toujours facile à faire !

Oui, je ne parle pas en alexandrins comme un comédien de la tragédie classique, mais je soigne mon langage en l’adaptant à mon public. Imaginez que je présente les contenus de la formation en alexandrins et que personne ne le remarque. Je pense à Gérard Depardieu dans le film « Cyrano de Bergerac » de Jean-Paul Rappeneau !

Je fais du spectacle vivant, car je joue sur des registres d’expression artistiques comme le théâtre, les arts du cirque, les arts de la rue, les arts de la marionnette, …

Je vous donne un exemple : lorsque j’ai le sentiment que l’attention de mon groupe chute, je chante la chanson « Ainsi font, font, font » en bougeant mes mains au-dessus de ma tête comme si je tenais des marionnettes. Je vous assure que vous ramenez le public à sa tâche !

Certes, cela ne plaît pas à tout le monde. Une personne est restée une fois dans la salle pour s’adresser à moi en privé. Elle m’a dit avoir été choquée par ma prestation du « Ainsi font, font, font ». Je me suis dit alors que la liberté pédagogique du formateur est ténue. Peut-être du fait que des personnes ont une représentation très normée de son rôle : la personne qui sait, qui va m’enseigner.

J’ai envie d’assumer ce rôle d’artiste que le formateur peut endosser. Ne pas se prendre trop au sérieux tout en étant très vigilant pour que les apprentissages se fassent. Un peu « fou du roi », mais pas si fou, car le fou du roi est souvent son conseiller.

Et la danse ? Je vous sens tendus tout d’un coup. Le voilà qui va danser au milieu de la salle de formation. Bon d’accord, peut-être pas jusque-là. Quoique, j’ai le sentiment parfois quand je présente une notion avec un diaporama de faire des pas de deux avec une cavalière imaginaire pour capter l’attention de mon auditoire.

Ça m’est arrivé de me balader dans l’amphithéâtre de mon université avec un micro-cravate. Je faisais des sauts de cabri dans les allées de la salle devant mes étudiants un peu surpris !

C’est vrai que je suis un peu cabotin !

Ça me plaît bien !

Jacques Cartier – www.jacques-cartier.fr – www.espace-formation.eu

Le formateur digital (2)

Publié: 22 avril 2021 dans Formation, Réflexions

Le formateur doit-il être un peu beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout digital ?

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant international – http://www.espace-formation.euhttp://www.jacques-cartier.fr

Le formateur digital (1)

Publié: 17 avril 2021 dans Formation, Réflexions

Source : https://pixabay.com/fr/illustrations/communication-t%C3%AAte-ballons-l-homme-1991849/

Avec la pandémie actuelle, le formateur travaille de plus en plus à distance depuis son domicile.

Mais comment doit-il s’organiser pour effectuer ses tâches, dans quel espace de travail (son bureau) et avec quels outils.

Cette vidéo est la première consacrée à ce thème.

Bien à Vous,

Jacques Cartier

Consultant international – http://www.espace-formation.euhttp://www.jacques-cartier.fr

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Source : Francesco Bergamini – L’instituteur Absent – https://www.flickr.com/photos/repolco/48843691472/sizes/m/

Bonnes pratiques ?

– Jacques, bonjour !

Je voudrais évoquer aujourd’hui la notion de bonnes pratiques en pédagogie. Existe-t’il une méthode pédagogique miracle ?

– Sur ce sujet, les prises de positions un peu intransigeantes concernant les bonnes pratiques en pédagogie ne manquent pas. La bonne pratique serait une pédagogie active ou inversée ou collaborative. J’entends même des commentaires peu conciliants, peu amènes, sur la pédagogie dite « traditionnelle ». Comme s’il ne fallait plus jamais s’adresser à un public en direct sous une forme expositive dans une architecture de classe « à l’ancienne ». Tu vois que je mets certains mots entre guillemets !

Il me semble, dans mon action quotidienne, que je choisis la méthode en fonction de mon public, de ses réactions aux travaux entrepris. À un moment donné, la mise en groupes des participants pour une tâche particulière semble être le bon moyen de déclencher les apprentissages. À un autre moment, l’intervention magistrale d’un quart d’heure semble être le bon vecteur.

C’est cette variété de choix de modalités qui me semble riche autant pour les apprenants que pour moi-même. Et puis, un enseignant ou un formateur est peut-être plus à l’aise et habile dans un contexte traditionnel sans que ce terme soit péjoratif. Il ne va pas, d’un claquement de doigts, passer à une pédagogie en mode travail de groupes. Cela nécessite une prise de recul sur sa pratique et donc du temps, des rencontres, des essais, …

Je perçois aussi ce problème dans l’utilisation du numérique. Certains sont un peu inconditionnels de l’utilisation du digital, comme d’autres restent très distants. Là encore, tout dépend du contexte, du travail à réaliser, de l’équipement disponible, de la qualité de la connexion, … Il ne s’agit pas de faire du digital pour du digital !

Peut-être que la feuille de papier, le post-it, le tableau blanc répondent mieux à l’objectif formulé de la séance, ou alors c’est l’ordinateur qui se révèle le plus efficace. À voir ! À tester !

Il me revient à l’esprit une remarque d’un collègue qui avait assisté à un cours et qui me disait : « Tu te rends compte, le professeur a présenté son cours avec un diaporama ! ». Comme si le diaporama faisait un peu ringard et n’était pas une utilisation satisfaisante et suffisante du numérique en classe. Peut-être que le collègue qui assurait le cours était à l’aise dans l’utilisation de l’outil de présentation et pas encore sur d’autres logiciels ou espaces en ligne. Et très certainement, demain ou après-demain, il va avoir l’idée de laisser quelques diapositives vides que les apprenant(e)s devront compléter. L’outil de présentation devient alors (aussi) support d’activité.

– Jacques, il n’y aurait ainsi pas de bonne pratique, il y aurait des pratiques ?

– Lorsque j’étais tout jeune futur instituteur (j’avais royalement dix-huit ans), j’ai participé à un stage de plusieurs semaines dans la classe d’un collègue qui pratiquait la pédagogie Freinet. J’ai vite compris le travail de fond qu’il avait accompli pour que sa classe ressemble à un véritable atelier de pratiques pédagogiques.

Il avait une classe à tous les cours (de la maternelle au cours moyen 2ème année). Souvent, les élèves étaient à plusieurs endroits des deux salles, organisés en différents groupes pratiquant des activités différentes. Le maître passait d’un groupe à l’autre, fournissait des conseils, des outils de travail, de la méthode. Toujours avec beaucoup d’empathie.

Pour être à l’aise dans ce mode de travail, il avait sûrement passé un nombre d’heures impressionnant pour se former lui-même, pour bâtir ses séances, transformer sa classe en une bibliothèque des apprentissages.

– Merci Jacques, toujours le mot pour relativiser !

Jacques Cartier, consultant expert international

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Compétences du formateur en ligne et technologie

– Bonjour Jacques !

Tu évoques parfois le fait que des collègues ont des difficultés à passer de la modalité présentielle à la modalité hybride et tout distancielle du fait de leur niveau d’expertise dans l’utilisation des outils liés à l’informatique. As-tu des conseils à donner à propos de ce souci ?

– En effet, un organisme de formation qui souhaite introduire le distant dans sa pratique forme ses personnels sur les aspects pédagogiques de cette modalité particulière. Mais, j’ai souvent observé que les aspects techniques (utilisation du numérique) sont souvent laissés de côté, peut-être parce que l’on pense que tous les formateurs·trices ont le niveau ?

Cette omission est fâcheuse, car de nombreuses personnes sont vite bloquées dans l’avancement de leur travail.

L’utilisation quotidienne d’un ordinateur, d’un smartphone, d’une tablette fournit le socle de base des compétences utiles. Et il est vrai que la plupart des personnes sont à ce niveau d’utilisation. Peu d’entre-elles sont ainsi de grandes débutantes !

– Pourrait-on ainsi établir une liste de compétences ? Qu’en penses-tu ?

– Oui, tu as raison. Je me lance !

Pour une meilleure autonomie dans la pratique pédagogique au quotidien, on pourrait lister quelques éléments clés :

  • Gérer ses fichiers

Discerner leurs types en les identifiant par leurs extensions (.pdf, .docx, .html, …), les organiser dans des dossiers et sous-dossiers. Les fichiers de la formation « F » seront déposés dans le dossier « Formation_F ». Ce dossier sera subdivisé en sous dossiers : Textes, Images, Sons, Vidéos, …

  • Sauvegarder son travail réalisé est une nécessité « vitale »

S’équiper d’un logiciel de sauvegarde, d’un disque dur externe, d’un nuage (cloud) efficace.

Travailler avec un seul exemplaire, c’est traverser les chutes du Niagara sur un fil sans corde d’assistance en cas de chute ! Les ordinateurs d’aujourd’hui sont de plus en plus fiables, on en vient à oublier que la panne ne prévient pas. Ou la casse, ou le vol, …

  • Utiliser une plateforme de formation asynchrone, béaba ?

L’organisme de formation est équipé d’une plateforme de formation. Son utilisation nécessite un apprentissage. Une formation initiale et continue est à organiser pour l’équipe. Le son et la vidéo sont de plus en plus intégrés dans les parcours de formation. Des formateurs ont leur propre chaîne Youtube… Il faut ainsi doter les collègues d’outils logiciels pour gérer ces médias.

On peut créer un parcours intitulé « Bac à sable » dans lequel le formateur peut faire tous ses tests sans risquer de faire des bêtises sur le vrai parcours. C’est comme la cale martyre utilisée en menuiserie pour protéger la planche originale !

  • Utiliser une plateforme synchrone

Avec la pandémie, cette modalité de formation s’est très vite mise en place. Mais est-ce si simple de se connecter en direct avec des personnes distantes ? Techniquement, quels sont les pré-requis nécessaires ? Quid du matériel utile (ordinateur, webcam, micro, débit de connexion) et de l’environnement de travail (un bureau dédié, éclairage, décor derrière soi, …)

  • Se doter d’un logiciel auteur

L’utilisation d’un logiciel auteur (j’utilise Exelearning – http://exelearning.net) inclut des outils pédagogiques prêts à l’emploi. De plus il permet de produire des parcours qui seront utilisables sur d’autres plateformes, car il autorise l’export au modèle SCORM dont voici quelques particularités :

« Accessibilité : capacité de repérer des composants d’enseignement à partir d’un site distant, d’y accéder et de les distribuer à plusieurs autres sites.

Adaptabilité : capacité à personnaliser la formation en fonction des besoins des personnes et organisations.

Durabilité : capacité de résister à l’évolution de la technologie sans nécessiter une re-conception, une reconfiguration ou un recodage.

Interopérabilité : capacité d’utiliser dans un autre emplacement et avec un autre ensemble d’outils ou sur une autre plate-forme des composants d’enseignement développés dans un site, avec un certain ensemble d’outils ou sur une certaine plate forme. Note : il existe plusieurs niveaux d’interopérabilité.

Réutilisabilité : souplesse permettant d’intégrer des composants d’enseignement dans des contextes et des applications multiples. »

Sur Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Sharable_Content_Object_Reference_Model

  • Assurer une assistance de premier niveau

L’intervenant doit pouvoir aider les apprenants à solutionner leurs problèmes techniques de base. Par exemple, paramétrer le micro pour la classe virtuelle, configurer le navigateur pour que tout s’affiche correctement à l’écran, gérer le bon type de fichier à déposer sur la plateforme, …

Formateur = Géo Trouvetou !

– Merci Jacques ! Je vais appliquer tes conseils !

Jacques Cartier, consultant expert international

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